Aromathérapie familiale : Préserver son équilibre hormonal

| 14 mars 2014 | 14 Commentaires
L’expert : Aude Maillard, Docteur en Pharmacie, Aromathérapeute et Réflexologue.

Praticienne et diplômée en aromathérapie scientifique, réflexologie plantaire et olfactothérapie, Aude Maillard a une approche très complète des huiles essentielles, à la fois scientifique et énergétique.C’est aussi et avant tout une passionnée des huiles essentielles avide de transmettre son savoir.Aude Maillard anime aujourd’hui des ateliers d’Aromathérapie Aroma-Zone et est également à votre disposition pour des consultations personnalisées : pour davantage d’informations, connectez-vous sur www.aude-maillard.fr

 

Le système hormonal est un des systèmes intégrateurs du corps. Avec le système nerveux et le système immunitaire, il assoit des bases essentielles à l’état de santé et plus particulièrement à l’équilibre psycho-immuno-endocrinien. Les huiles essentielles permettent, de par leurs propriétés eubiotiques (en faveur des processus vitaux), de prendre soin de la santé globale de l’organisme d’une manière inégalée dans le règne végétal et, en particulier, de l’équilibre chimique de l’organisme : le système endocrinien.

 

Hommes/femmes : Préserver son équilibre hormonal par l’alchimie des essences

Parce qu’une hormone est par définition un messager chimique, véhiculé par le système circulatoire, qui exerce son action à distance sur des récepteurs, elle peut être diffusée dans l’organisme tou

t entier, agir potentiellement sur des organes différents et même sur des organismes voisins (phéromones). Ce système a en charge l’homéostasie, via la commande nerveuse, c’est-à-dire le maintien du corps à son équilibre physiologique normal. Cela sous-entend que dès qu’il y a rupture de l’équilibre, c’est toute la chimie du corps humain qui se bouscule en cascade pour ramener le retour à la normal. Pancréas, thyroïde, ovaires, testicules, surrénales sont autant de glandes endocrines toutes en relation directe et instantanée avec le système nerveux central et plus particulièrement avec l’hypothalamus et  l’hypophyse.

 

Système nerveux et endocrinien : en collaboration étroite

Le système nerveux peut être assimilé au système électrique du corps. Il a deux versants, un premier sous le contrôle de la volonté et un autre qui fonctionne d’une manière automatique, appelé système autonome. C’est ce dernier qui assure l’ensemble des fonctions vitales comme la respiration, la circulation, mais aussi la digestion. Il est très en relation avec tous les médiateurs chimiques circulant dans le sang, comme les neuromédiateurs ou les hormones. Ceux-ci constituent des signaux pour réagir dans un sens ou dans un autre, pour ralentir ou accélérer le métabolisme.

On peut comprendre ainsi qu’un choc émotionnel puisse dans l’instant faire basculer ou même bloquer le système hormonal. Les aménorrhées (arrêt de la sécrétion des hormones sexuelles) des jeunes femmes s’accompagnent souvent de blocage émotionnel ; le diabète de type 2 (dérèglement de la sécrétion d’insuline) se déclenche souvent après la perte d’un être cher ; la thyroïde lâche parfois chez des sujets enclins à des frustrations et un besoin de réalisation.

L’équilibre hormonal trouve des aides allopathiques certes efficaces mais totalem

ent palliatives, artificielles et dénuées de tout espoir de restauration des fonctions organiques lorsque cela est encore physiologiquement possible. Il est donc important d’entretenir et de soutenir cet équilibre subtil et précieux avant d’atteindre un point non de retour comme une hypothyroïdie, un diabète ou encore une infertilité. Réciproquement, le bon fonctionnement glandulaire est nécessaire pour la bonne humeur et la bonne santé psychique. L’approche de l’équilibre endocrinien, faite sous ce regard holistique, ouvre un champ d’action, des perspectives de compréhension et aussi de prise en charge très larges. Elle permet également de prendre conscience de la subtilité et de la préciosité des échanges chimiques. Les émotions, les excès alimentaires et notamment le sucre, le stress, la pollution, la fatigue chronique et le manque de sommeil mais aussi l’hérédité sont autant de facteurs de déséquilibre plus ou moins durables de toute la chimie du corps.

 

Des essences en plein dans le mille

L’aromathérapie offre deux huiles essentielles particulièrement intéressa

ntes pour espérer réharmoniser à la fois le système nerveux et le système hormonal. Un Romarin et un Géranium. Le mariage du yang et du yin, du feu et de la douceur, du mouvement et de la réceptivité : cette synergie a une portée puissante sur des points fondamentaux de la santé.

Le Romarin à verbénone, comme tous les romarins, a une action régulatrice hépatique mais rayonne jusqu’à l’hypothalamus ainsi qu’aux glandes de la reproduction. C’est l’ensemble de l’axe hypothalamo-hypophyso-ovarien et testiculaire qui est régulé et soutenu : troubles du cycle, andropause, ménopause, ralentissement métabolique, infertilité, emballement de la puberté mais aussi déséquilibre thyroïdien, prise de poids. Le Romarin à verbénone, le chémotype cultivé en Corse, se charge du ralentissement comme de l’excès. Il travaille sur la commande centrale à savoir l’hypothalamus mais également sur la sensibilité des récepteurs aux hormones. Dans l’esprit du juste milieu, du respect des besoins, de la physiologie, ce romarin riche aussi en ester (acétate de bornyle) est une équilibrante, à la fois antidépressive et rechargeante nerveuse. Voilà un actif aromatique d’une finesse et d’une préciosité rare en termes de santé humaine tenant compte de l’aspect global du fonctionnement du corps humain.

Le Géranium Bourbon est son pendant sur le versant de la délicatesse et de la douceur. Avec les mêmes propriétés que le Romarin à verbénone, il complète ses effets en apportant d’autres molécules qui forment un totum très intéressant pour, entre autres, booster le pancréas et soutenir le métabolisme glucidique.

Une synergie aromatique parfaitement équilibrée

Pour compléter l’action de ces deux huiles essentielles clés, la synergie se complète avec l’apport des actifs de l’Épinette noire. Conifère des zones froides, aux branches redressées vers le ciel, ses aiguilles distillées fournissent une huile essentielle des plus intéressantes pour le terrain. Immunostimulante, revitalisante physique et psychique, antidépressive, elle travaille d’une manière étonnante sur les glandes surrénales et stimule la production de la cortisone endogène, l’hormone anti-inflammatoire et tonifiante. Il s’ensuit, au bout de quelques jours de traitement, d’un regain de tonus, d’énergie, de moins de douleurs et d’une meilleure humeur. Magnifique cure de remise en forme, à juste titre à la saison froide ou bien lors de pathologies inflammatoires récidivantes, une huile essentielle d’aiguille spécifiquement adaptée pour réchauffer l’organisme tout entier.

 

Pour parfaire l’approche corps/esprit, une huile essentielle à la fois antistress majeur et très psychoactive pour intervenir sur le registre nerveux complète les propriétés. L’huile essentielle de Petitgrain bigaradier se charge de détendre l’ensemble du réseau musculaire lisse, c’est-à-dire tous les muscles travaillant de manière autonome comme ceux des systèmes digestif, respiratoire et cardiaque entre autres. Ces muscles, sous l’emprise du stress et de l’imprégnation d’adrénaline (l’hormone du stress), se contractent et occasionnent tous les méfaits du stress (intestins irritables, hypertension artérielle, palpitations, oppressions thoracique).

Trois voies d’administration : les portes d’entrée des actifs

Un traitement de terrain comme celui là nécessite bien entendu une administration par voie interne. Celle-ci assure le contact direct des molécules aromatiques avec le système digestif et les glandes à réguler. Mais pour ne pas perdre tout le potentiel aromatique, il est important de ne pas oublier deux autres voies, à utiliser en complément : la voie olfactive et la voie cutanée.

Le nerf olfactif véhicule les actifs volatils jusque dans le cerveau et donc le système nerveux central. Respirer les huiles essentielles du système nerveux est un geste thérapeutique d’apaisement et de mise au repos instantané.

La voie cutanée se rajoute à ces deux dernières, et plus précisément en application sur la moelle épinière, tout le long de la colonne vertébrale, en massant du haut vers le bas pour faire descendre l’énergie, insister également sur les surrénales qui chapotent les reins pour favoriser le travail de l’Épinette noire. La détente procurée est profonde et rapide, le soir au moment du coucher, et favorise l’endormissement et la qualité du sommeil.

 

« La formule de l’expert »
Synergie « Équilibre psycho-hormonal »
Propriétés
: stimulant hépato rénal, tonifiant pancréatique, régénérant intestinal, Cortisone like, neurotonique, régulateur neuroendocrinien, réduction des taux de mauvais cholestérol.Indications : digestion difficile, troubles du cycle, tendance aux hypoglycémies, fatigue physique et/ou psychique, hypercholestérolémies.

Huile essentielle de Romarin à verbénone
Rosmarinus officinalis CT verbénone
3 ml
Huile essentielle de Géranium Bourbon
Pelargonium asperum    
2 ml
Huile essentielle de Petitgrain bigaradier (feuille)    

Citrus aurantium ssp amara
2 ml
Huile essentielle d’Épinette noire
Picea mariana
3 ml

1 ml = 35 gouttes

Dans un flacon de 10 ml en verre teinté muni d’un codi-gouttes, mélanger les huiles essentielles dans les quantités conseillées. Refermer et agiter.

Mode d’emploi :

Voie sublinguale : 3 gouttes dans une petite cuillère avec un peu d’huile de lin, laisser sous la langue quelques instants et avaler matin et soir, pendant 3 semaines.

ET, déposer 2 gouttes de la synergie à l’intérieur des poignets et respirer profondément, 4 fois par jour.

Voie olfactive : déposer 2 gouttes à l’intérieur des poignets et respirer profondément au moins 5 fois de suite, à répéter au minimum 3 fois par jour et à volonté selon les besoins ou les envies, pendant 3 semaines.

Voie cutanée ; déposer dans le creux de la main, 8 gouttes de cette synergie avec 4 à 6 gouttes d’huile végétale de noyau d’abricot et masser la colonne vertébrale et les surrénales matin et soir, pendant 3 semaines.

Contre-indications : femmes enceintes et allaitantes.

        

Catégorie: AVIS D'EXPERT

Commentaires (14)

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  1. Edwige dit :

    Merci pour cet article très instructif.

    J’utilise déjà le petitgrain et l’épinette noire en massage au niveau du bas du dos, l’effet apaisant est immédiat et très efficace.

    Ayant arrêté la pilule, j’ai des répercussions hormonales sur mon humeur, je vais donc essayer le mélange romarin/géranium.
    Peut-on utiliser n’importe quel romarin ou faut-il que ce soit forcément à verbénone ?
    Et si le mélange fonctionne bien, peut-on le prendre tout le temps ou juste en cure de temps en temps ?

    Merci

  2. HELARY dit :

    Etant addict à Aromazone, j’utilise déjà depuis de nombreuses années vos produits, notamment nombre de vos huiles essentielles.
    Cependant, je m’interroge sur l’utilisation de certaines de ces huiles depuis que j’ai appris que certaines étaient fortement déconseillées après un cancer du sein, parce qu’elles ont des propriétés phyto estrogènes.
    C’est notamment le cas du romarin à verbénone, et aussi du niaouli.
    Pourriez-vous me donner une liste exhaustive de toutes les huiles essentielles déconseillées en cas d’antécédent de cancer du sein ?
    Merci par avance,

    • Aroma-Zone dit :

      Bonjour,

      Effectivement, dans la cadre d’un cancer, il est préférable d’éviter les huiles essentielles oestrogen-like : fenouil doux, anis vert, basilic, carvi, cumin, cyprès toujours vert, niaouli, sauge sclarée et sauge officinale Toutes les informations sont également mentionnées dans nos fiches techniques en ligne.

      Très belle journée,
      Catherine
      Docteur en Pharmacie

      • M dit :

        Bonjour,

        Merci pour tous vos dossiers instructifs que je lis avec beaucoup d’intérêt.

        Dans votre liste des huiles essentielles oestrogen-like vous mentionnez le basilic, s’agit-il de tous les basilics (sacré, tropical…) ?

        Je trouve souvent dans vos formules des HE oestrogen-like comme la camomille p. ex. De plus j’ai lu dans une de vos réponses dans un autre dossier que le neroli fait partie de la liste. Dans ce cas, le petit grain bigarade aussi (s’agissant de la même plante) ou pas ? Comment savoir par quoi remplacer ces HE oestrogen-like de vos formules ?

        Y a-t-il une liste exhaustive ou doit-on éviter tous les sesquipertènes ? Y a-t-il d’autres molécules à éviter également ? Comment savoir ou comment les reconnaître ?

        De plus, ces HE sont à éviter uniquement par voie orale et cutanée ou également par diffusion et olfaction ? Et dans les crèmes et baumes ?

        Merci d’avance pour votre réponse.

        Meilleures salutations.

        • Aroma-Zone dit :

          Bonjour,

          Les composants aromatiques ayant un effet oestrogen-like dans nos huiles essentielles sont principalement : sclaréol (sauge sclarée), anéthol (fenouil, anis), viridiflorol (niaouli, sauge officinale)
          Parmi les huiles essentielles proposées par Aroma-Zone, les suivantes ont des effets « oestrogen-like » et sont donc à éviter en cas d’antécédent de cancer oestrogen-dépendant (sein, ovaire, endomètre) : Fenouil doux, Anis vert, Céleri, Carvi, , Cyprès toujours vert et de Provence, Niaouli, Sauge sclarée, Sauge officinale.
          Par précaution, il est préférable d’éviter toute utilisation de ces huiles essentielles (tous modes d’utilisations) si vous avez ou avez eu un cancer oestrogen-dependant.
          Les huiles essentielles de camomille et de tanaisie sont également déconseillées car elles ont des effet hormon-like dus au chamazulène principalement (action sur hypophyse).
          Certaines huiles essentielles ont des effets toniques et stimulants sur la fonction ovarienne et peuvent donc aussi avoir une action stimulante des oestrogènes : Menthe poivrée, Menthe citronnée, Verveine citronnée.
          Les huiles essentielles de basilic, néroli et petitgrain bigarade ne sont pas indiquées comme oestrogen-like dans les différentes sources que j’ai pu consulter.
          L’huile essentielle de Cumin aurait, elle, un effet anti-œstrogène et le Curcuma aide au catabolisme (destruction des oestrogènes).
          Certaines huiles essentielles ont des effets « progesteron-like » qui sont souvent utilisées pour réguler les hormones : Romarin à verbénone, Achillée millefeuille, Coriandre (également action sur les hormones surrénales et thyroïdiennes) , Sarriette (également et surtout surrénale)
          De nombreuses autres huiles essentielles ont des effets « hormon-like » sur les hormones autres que les hormones sexuelles (hormones des glandes surrénales et thyroïde), notamment l’épinette noire et le pin sylvestre qui ont un effet « cortison-like » de par leur teneur en terpènes.
          Pour tout usage thérapeutique d’huiles essentielles par voie interne, nous conseillons de vous faire suivre par un aromathérapeute ou médecin. En cas d’antécédent de cancer hormono-dépendant, tout usage régulier d’huiles essentielles, surtout à doses importantes, devrait être soumis à l’avis de votre médecin.
          Un usage cosmétique (crème, baume..) à petites doses et en variant les huiles (et en évitant les oestrogen-like) et en respectant bien les précautions données dans leurs fiches ne devrait pas poser de problème.

          Très belle journée,
          Emilie, Expert technique en ingrédients cosmétiques

  3. m dit :

    Bonjour, j’aimerais telecharger ou enregistrer ce dossier sur ma tablette mais je n’en ai pas trouve le moyen. Comment faire svp ?

    • Aroma-Zone dit :

      Bonjour,

      Cet article est une page web vous ne pouvez donc pas la télécharger ou l’enregistrer cependant vous pouvez l’ajouter à vos favoris pour la retrouver facilement.

      Très belle journée,
      Laura, formulatrice cosmétique

  4. Claire dit :

    Bonjour,

    Merci pour cet article qui m’a appris beaucoup de choses. Je voulais savoir si suite à une fausse couche il faut attendre pour prendre cette cure ou si je peux la prendre immédiatement? Car depuis mon moral est au plus bas (donc l’épinette noire pourrait grandement m’aider) et mon cycle est complètement déréglé…

    • Aroma-Zone dit :

      Bonjour,

      Il est possible d’utiliser cette synergie avec une fausse-couche. Il est normal qu’après ce type d’événement, le corps soit chamboulé et que le cycle soit perturbé.
      Si cela persiste dans le temps, n’hésitez pas à consulter votre gynécologue qui saura vous écouter et vous conseiller.

      Très belle journée,
      Catherine – Docteur en Pharmacie

  5. Patricia dit :

    Bonjour,

    Je suis ménopausée depuis plus d’un an et sous traitement substitutif hormonal, ce qui ne m’enchantait guère. J’ai évité les traitements hormonaux toute ma vie. Mais là, je ne pouvais plus car j’avais vraiment trop de bouffées de chaleur, trop de suées nocturnes, et une humeur  » massacrante ». Aussi, lorsque j’ai lu l’article d’Aude sur l’équilibre psycho-hormonal, j’étais vraiment tentée d’essayer. J’ai testé la synergie proposée en respectant les indications et j’ai été enchantée du résultat : au bout de deux semaines, j’avais divisé par deux le traitement substitutif, au bout des trois semaines je n’en prenais plus qu’un quart, une semaine après l’arrêt je n’en prenais plus du tout. En revanche mes seins étaient gonflés et douloureux, j’ai donc repris juste le progestatif pendant dix jours et la depuis presque une semaine tout est redevenu normal et sans traitement, ni progestatif ni œstrogène. C’est vraiment très efficace. Une question néanmoins : doit-on faire des curés préventives de temps en temps ou attendre de nouveaux des symptômes ?
    En tout cas merci beaucoup pour l’ensemble de vos conseils. Je lis attentivement vos dossiers thématiques et en utilise régulièrement pour moi ou mon compagnon. Ils nous soutiennent, voire nous permettent d’éviter et/ou de supprimer des traitements allopathiques, dont on connaît les effets secondaires, trop souvent négatifs pour la santé. Ils sont parfois indispensables et nécessaires, mais lorsqu’on peut s’en passer c’est mieux. Merci à toute l’équipe d’aroma zone de nous fournir en produits de qualités et à un prix très abordables tout en nous formant à l’aromathérapie.

  6. Isa dit :

    Bonjour. Mes résultats sanguins indiques une thyroïde à un point en dessou de la normal. C’est à dire que je suis plus qu’en hyperthyroïdie qu’en hypo.
    J’ai un nodule (kiste liquidien que je fais ponctionné de temps en temps) de plus de 3 centimètre sur mon lobe thyroïdien droit et j’aimerais le réduire. J’ai entendu parler de mâcher de l’aneth avant les repas ou de prendre l’huiles essentiel d’aneth. Je prend pour l’instant une goutte d’huile essentiel de romarin dans une cuillère de miel le matin et je compte prendre de HE de géranium comme indique votre site. Qu’en ai t’il de HE d’aneth? Que me conseillez vous?

  7. alice dit :

    Bonjour,
    je souffre de dérèglement hormonal léger depuis que j’ai arrêté la pilule. J’ai perdu un peu mes formes feminines (les hanches surtout) et des poils me poussent un peu partout (notamment sur le torse!). Auriez vous un cocktail d »huiles essentielles à me conseiller pour lutter contre ces hormones androgènes?
    Merci

  8. Laure dit :

    Bonjour,
    Merci pour cet article très riche et cette formule que je suis en train d’essayer. Pouvez vous cependant m’indiquer la posologie exact; vous indiquez trois semaines. Ou cela peut il être 3 semaines et une semaine d’arrêt? Avec une reprise apres? En effet 3 semaine de traitement suffisent elles vraiment?
    Merci d’avance pour votre réponse et votre blog!!

  9. Alice dit :

    Bonjour,
    Ce traitement par les huiles essentielles est-il compatible avec un traitement antidépresseur médicamenteux? Merci!

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